Dans le cadre de la Nuit Sartre, Marc Crépon s'interroge sur la politique, l'engagement de Sartre et à son héritage politique. Il éclaire son propos en soulignant le piège de la minimisation et de la dénonciation de la violence. Il fait référence à Sartre, témoin de la décomposition des empires coloniaux, et premier philosophe à démonter le piège de relativisation et de dénonciation de la violence.
Thèmes : Philosophie , Histoire , Littérature
Catégories: Nuit Sartre
Mot-clés : Histoire, pensée, Sartre Jean-Paul, Philosophie morale, Politique, violence, Philosophie politique, héritage, engagement, décolonisation, colonisation
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Institutions : Ecole normale supérieure-PSL
Cursus :
Marc Crépon est directeur de recherches au CNRS (Archives Husserl), il a dirigé le département de philosophie de l’École Normale Supérieure de 2011 à 2019 ; il est actuellement directeur du Master de philosophie de l’université Paris Sciences Lettres.
Il travaille en philosophie morale et politique, avec pour fil conducteur la question de la violence. Il a publié Ces temps-ci, la société à l’épreuve des affaires de mœurs, (Payot-Rivages, 2020); Le désir de résister, un esprit critique pour notre temps, (éd. Odile Jacob, 2021), L’héritage des langues, séminaire 2020-2021, (Fayard, 2022) ; Journal de Moldavie 1987-1988, Juillet 2022 (Verdier 2023) et Sept leçons sur la violence, (éd. Odile Jacob, 2024).
Plusieurs de ses livres sont traduits en anglais, en espagnol, en italien et en serbo-croate.
Dernière mise à jour : 05/09/2013
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